Le Weblog à Cassidy

This year again I'll be at FOSDEM this week-end^[1]. I should be around the GNOME stand/devroom and will, of course, attend the beer event on Saturday night.

Don't hesitate to come and say hi if you want to discuss about Telepathy, Empathy, Moovida or about your favorite Belgian beer.

For those who are lucky enough to own a N900 don't forget to download the FOSDEM 2010 Maemo application. The UI is pretty shit but the features are quite nice and it allows you to easily build your schedule for the week-end. If you are more an Android, iPhone or Palm person the app is also available for those plateforms.

See you there!

Since already 2 weeks, I moved to Cambridge, UK. That's a great opportunity to discover a new country, new culture, improve my sucky English, train my biking skills and, of course, to work in Collabora's Cambridge office. Things are going very well so far; I found a new house we share with Sjoerd, Will and my girlfriend Géraldine. After 1.5 year working alone at my place, I really enjoy to have a real desk in a real office with others Collaborans.

Dear Guillaume Desmottes,

We are pleased to inform you that you are now part of the GNOME Foundation Membership.

Like some other Belgian guys, i'm now member of the GNOME foundation. :) It's really cool to know that your work is appreciated and become better involved into the community.

Thanks a lot to David and Vincent for their really kind mail and have supported my membership.

Oui, cela fait plus d'un mois que je suis rentré du GUADEC, bien deux semaines que j'ai uploadé mes photos sur Flickr^[1] et ce n'est que maintenant que je me décide, enfin, à blogger pour en informer les hypothétiques personnes intéressées par voir des gens manger une pizza au milieu de la rue, mais surtout, Baptiste entrain de créer des « passionate users ». En bref, toutes mes photos sont donc dispos ici.

Me voilà sur une planète de plus. Vincent m'ayant récemment ajouté sur planète GNOME-FR (merci à lui !) vous pourrez dorénavant suivre mes passionnantes aventures via cette page.

Ma vie n'ayant pas terriblement changé depuis ma courte présentation pour Planet Grep, je vous renvois à cette dernière si vous ne me connaissez pas et êtes, à tout hasard, intéressé par ma personne.

Comme d'hab, les commentaires sont les bienvenus pour tous les billets; évitez juste d'utiliser des termes tels que « Sex Ultra P0rn ! », mon anti-spam risquant de ne pas être très conciliant avec des derniers. :-)

Ce dimanche j'ai eu la chance de participer à un tournoi de Texas Holdem No Limit^[1].

BeTv à l'occasion de la diffusion de la seconde saison du World Poker Tour avait organisé un grand concours. Les 64 sélectionnés gagnaient le droit de participer à un tournoi au terme duquel le grand gagnant se voyait offert une place pour le tournoi WPT "Play with the Stars" à Los Angeles d'une valeur de 20000$ (de buy-in).

C'est ainsi que je me suis retrouvé avec Caps (chaque participant avait droit à un accompagnateur) ce dimanche matin à 11h à l'hôtel Windsor, situé juste devant le nouveau casino de Bruxelles, pour l'accueil des participants. Déjà là ça valait le déplacement. On peut dire qu'on se mouche pas du pied quand on va au Windsor. Hall d'entrée méga-classe, différents bars et restaurants, plein de salles de séminaire (dont une occupée par une meeting Microsoft^[2], parking à 20€ la journée, larbin qui tape tes valises dans ta Jaguar, chambre allant de 345€ pour la single de base à 1700€ pour la suite grand luxe, etc. Après un verre de jus d'orange offert au bar, les participants étaient invités à rejoindre le casino pour recevoir leur carte de membre (indispensable pour rentrer dans le casino).

Là non plus ça lésine pas sur les moyens. Des écrans plasmas énormes dans tous les coins (pour afficher des infos fixes, un biet panneau aurait suffit mais aurait été beaucoup moins classe il est vrai), enregistrement de mes infos sur l'ordinateur, photo à la webcam logitech. La carte tirée, je peux enfin rentrer dans l'arène. Pas trop le temps de traîner, les participants devant joindre la salle VIP tout en haut où se déroulait le tournoi. Le directeur générale du casino nous a fait un petit speech de bienvenue, expliquant qu'ils ont du demander une dérogation pour l'organiser car la législation belge n'autorise pas encore le Poker mais que celle-ci devrait bientôt changer et qu'ils espèrent sous peu ouvrir des tables de Poker dans le casino. Ils compte également organiser des tournois de Poker. Ayant reçu une carte à dos bleu à l'entrée, je suis dans le premier groupe de 32 joueurs. Je m'assied à ma table, admire mes magnifiques jetons (c'est vraiment un plaisir de jouer avec, lesté, équilibré, une vrai merveille !), la tension monte. Le directeur du tournoi prends le micro : "Shuffle up and deal"; c'est partit.

Chaque joueur commençait avec 2000$ en jetons (argent virtuel bien sur), les blinds de départ étant 100/200. Y a pas à dire entre jouer tranquillement sur Internet derrière son PC et jouer en tournoi à une table avec un croupier qui donne les cartes et tout, c'est deux jeux radicalement différents ! La tension était vraiment palpable à la table, les gens hésitant à parler, les mains qui tremblaient lors des mises; j'étais aussi stressé qu'à un examen oral et j'étais vraiment loin d'être le seul ! Sans avoir fait d'énormes conneries, si ce n'est ne pas avoir été agressifs les 2 rares fois où j'ai eu une main vaguement correcte, je me suis vite retrouvé assez faible en jetons (ça partait très vite vu la taille des blinds). Les blinds avaient déjà monté et il me restait juste assez de jetons pour un gros blind. Et là le miracle ! Je tire ma première^[3] bonne main de la partie, du lourd : paire de rois ! Ni une, ni deux je balance mon (maigre) tapis et suis suivit par 3 joueurs. Le flop; un roi sort ! La délivrance, avec mon brelan de rois je me voyais déjà avec le pot entre les mains. Tournant et rivière, rien de bien extraordinaire (enfin à ce stade je ne voyais plus que mes 3 merveilleux souverains). Les 2 joueurs restants dévoilent leurs cartes (un s'étant couché entre temps), j'annonce timidement (oui j'étais très stressé) : "three kings". Les joueurs me regardent et semblent d'accord que je remporte le pot quand soudain, le drame ! Le croupier lâche en désignant un de mes adversaires : "he has a straight". Le drame, l'animal a une suite; et, pour finir de m'achever lâche "ahh je l'avais même pas vu !". Voilà, c'est fini; je sors de table encore sous le choc.

"Le poker est la chose la plus violente que l'on puisse faire assis"
Jamais cette phrase ne m'est parue aussi pleine de sens.

Bref, j'ai été me consolé avec l'excellent buffet froid; vraiment très bon (sauf un genre de thé bizarre que j'ai pris et qui puait quand même bien la rage^[4]. On a ensuite un peu regardé le 2e tour et été faire un tour dans le casino.

Les moyens de perdre son argent ne sont finalement pas très variés. Il y a une chiée de machines à sous, vraiment pleins. Des "old schools" mécaniques mais surtout des entièrement électroniques qui passent par tous les thèmes possibles et imaginables : Égypte antique, nains dans la mine, là sous la mer, safari, la maison hantée, le prince qui se transforme en crapaud (!), etc. J'ai été perdre 2€ dans ces bêtes engins mais Caps a réussi l'exploit de gagner 4€ !!!^[5]. On retrouve également le fameux Black-Jack avec son magnifique appareil qui mélange et dont on tire les cartes. J'ai vraiment du mal à trouver de l'intérêt à ce jeux, ça a l'air ennuyeux à mourir.

Puis il y a la mythique roulette. Ça c'est vraiment quelque chose à voir. Une roulette gigantesque, une table énorme autour de laquelle sont regroupés plein de vieux qui balancent des fortunes. Ils ont tous des tonnes de jetons, les places dans tous les sens sur le tapis pendant 10 minutes, le croupier annonce son fameux "rien ne va plus", la boule s'arrête sur un chiffre et là c'est le carnage. La banque ramasse tout, les centaines de jetons présents sur la table sont balayés en quelques brassés par le croupier qui balance tout dans un trou. Ces jetons sont immédiatement retriés automatiquement. On a été particulièrement choqué par un mec qui venant de perdre, a balancé un billet de 500€ sur la table, a reçu une chiée de jetons qu'il a tous positionné "stratégiquement" sur le tapis et qui ont finalement tous finis dans le trou à pognon du casino. C'est vraiment impressionnant de voir autant d'argent partir en fumée sans que ces mecs ne sourcillent d'un poil. Un autre truc qui m'a marqué c'est le croupier de la roulette. Ce mec est une vrai machine (tous comme les croupiers de poker d'ailleurs, il faut vraiment voir ces mecs mélanger le jeu devant vous), il bouge des quantités de jetons et change la tune en jetons a une vitesse déconcertante et le tout en disant à voix haute tout ce qu'il fait. À voir!

Bref, même si ce n'est pas cette année que j'irai à Los Angeles et lancerai ma carrière de joueur professionnel, je retire de ce tournoi une excellente expérience. Le fait d'avoir pu mettre les pieds dans un casino au moins une fois dans ma vie et surtout de découvrir ce que c'est le vrai poker assis à une table. Et puis j'ai reçu une boite avec un jeu de cartes et 100 jetons !

Merci BeTv. :D

Étudiant en dernière année d'informatique, je contribue régulièrement en tant que bénévole à différents projets libres et gratuits.
Pour ce faire, j'ai besoin de récupérer les versions de développement de ces programmes à l'aide d'un logiciel appelé CVS.
Ce même logiciel risque de m'être bientôt indispensable dans le cadre de mon mémoire voir même de mon travail en tant qu'étudiant jobiste chargé de la maintenance des salles informatiques du campus de la plaine.
Il m'est malheureusement impossible d'utiliser ce logiciel, et donc de pouvoir travailler à mon kot (avenue Héger), car le port de communication utilisé par CVS (2401) est bloqué en sortie sur le réseau.
J'ai donc téléphoné à RESULB courant août pour demander l'ouverture de ce port; une dame m'a très gentiment expliqué qu'elle ferait le nécessaire et que cela devrait fonctionner dans l'après-midi.
Quelques jours plus tard, le problème n'étant toujours pas résolu, j'ai retéléphoné et suis tombé sur la même personne qui m'a dit que ce n'était pas de son ressort (alors que cela l'était quelques jours auparavant) et que je devais contacter Mr Jansens. Je contactai donc cette personne qui m'informa que ce n'était pas lui qui gérait cela (décidément !) et que je devais envoyer un mail à resulb@ulb.ac.be ce que je fis immédiatement.

N'ayant aucune réponse après à peu près une semaine (et mon programme ne fonctionnant toujours pas), je resonnai à Resulb. J'eu un autre interlocuteur qui m'assura qu'une réponse à mon mail avait été envoyée (réponse que je n'ai toujours pas reçue à ce jour) et que celle-ci était négative. Il m'expliqua que Mr Binon refusait d'ouvrir le port de communication mais n'en savait pas plus sur la raison de ce refus et m'invitait donc à prendre contact avec ce dernier pour en savoir plus.

Je téléphonai donc à Mr Binon désireux de comprendre pourquoi on refusait à un étudiant l'usage d'un logiciel aussi académique. Celui-ci me répondit que ce port n'avait jamais été bloqué et que si cela ne fonctionnait pas, cela était du à un problème sur ma machine. Je lui expliquai que j'avais fait énormément de tests afin de m'assurer que le problème venait bien de leur réseau et que lorsque je branche mon portable à mon domicile je n'ai aucun problème à faire fonctionner le logiciel et que, dès lors, je voyais mal comment mon ordinateur pourrait être en cause.
Après quelques minutes d'un dialogue de sourd au cours desquels Mr Binon a refusé d'envisager durant une seule seconde que le réseau pourrait être la cause de mon problème (alors que le technicien de resulb m'avait assuré à peine quelques minutes auparavant qu'il avait explicitement refusé d'ouvrir ce port), il me répondit qu'il "avait autre chose à faire que d'être emmerdé par mes problèmes" et me raccrocha très sympathiquement au nez.

Décontenancé par ces manières quelque peu cavalières et désireux de comprendre pourquoi un port dont on me refusait l'ouverture il y a encore quelques minutes se retrouvait tout à coup n'avoir jamais été fermé, je rappelai les techniciens de resulb espérant retomber sur mon interlocuteur précédent. Malheureusement, il n'en fut rien et ce n'est pas moins d'une 5e personne qui me répondit cette fois. Je lui expliquai la nature de mon problème et mes différents déboires quand celui-ci me répondit que si le directeur avait dit que c'était comme ça c'est qu'il avait forcément raison et que, lui aussi, avait mieux à faire que de s'occuper de mes problèmes.

Plusieurs mois ont passé, mon logiciel ne peut toujours pas fonctionner à mon kot et me vois donc dans l'impossibilité de travailler dans des conditions décentes. Je reste persuadé que le problème vient de la configuration du réseau et trouve vraiment regrettable que RESULB face preuve d'une telle mauvaise foi et soit si peu enclin à résoudre les problèmes des étudiants.